Bilan

 (Photo: c'est la Vierge à l'enfant prise à la Cathédrale de Notre Dame de Senlis)

Voici le traditionnel bilan de fin d’année (notes prisent pendant l’année), réflexions pour ma part à approfondir. Il faut  prendre en compte les questions posées à vous de chercher les réponses.

Monde : Un Monde sans Dieu ?

L’homme veut vivre sans Dieu (sans contrainte d’une personne supérieur en l’occurrence Divin), l’homme sans Dieu se déconstruit et déconstruit tout ce qui peut être beau et bon ! L’homme ne supporte pas toutes les fragilités et ses propres fragilités (c’est un concours incessant sur la performance physique, d’endurance du corps (on peut faire subir tout sur le corps pour le rendre performant (chirurgie …) et selon mon choix changement du sexe car le corps sexué que j’ai reçus dès la naissance ne me convient pas (c’est un exemple ce n’est pas mon cas). Si on ne  rentre pas dans le moule on nous autorise de mourir comme si la mort est devenu autorisé et au jour prévu jusqu’à l’heure alors que cela n’appartient qu’à Dieu. La seule réponse de l’homme est la mort alors que Dieu est la vie ! L’homme sans Dieu se meurt. tout est déconstruction, déconstruction de la cellule familiale (autorisation d’un couple gay d’avoir des  enfants ) alors que pour avoir un enfant il faut un homme et une femme, la vie ( l’avortement , l’euthanasie ) même la mort est déconstruite jusqu’à l’autorisation de sa propre mort , déconstruction de la culture … tout y passe ! L’homme se transforme en dieu. Mais la seule raison à cette déconstruction toute confondue, l’homme c’est détourner de son sauveur. Il y a cette fracture, l’homme s’ampute lui-même (ok cela ne se voit pas à vue d’œil ) mais il ampute son âme de la présence divine ( n’oublions pas que le corps est le temple de Dieu). Le monde est malade de la non présence de Dieu dans les âmes de chacun. L’orgueil y est pour quelque chose, l’homme orgueilleux monte lui-même au même niveau que Dieu:

 Il suffit de voir au début de la bible « la genèse » « la chute » : Genèse 3.3  «3 Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. » Cela n’était pas un mensonge car Dieu avait prévenu l’homme de cette mort ! je travaille comme vous le savez dans une crèche et j’ai pu observer  lorsque je dis à un enfant «Non tu ne montes pas debout sur le fauteuil  car il faut s'asseoir dans le fauteuil » et que deux  secondes après il recommence là j’interviens beaucoup plus sévèrement et je me déplace et je réexplique, à coup sûr l’enfant va se mettre à pleurer ! L’enfant et j’inclus l’adulte ne supporte pas la frustration, voilà qu’aujourd’hui l’homme  ne supporte plus une personne au-dessus de lui qui pourrais interdire comme « tu ne tueras point » , donc nous nous trouvons dans des situations ou l’avortement est autorisé . Une comparaison très flagrante que j’ai pu voir c’est que le Christ est celui qui a obéis dans toutes les circonstances et que le mal satan est celui qui as désobéis et qui en plus contrecarré les interdictions et va au-delà de la limite permise  d’où la déconstruction, voilà ou il y a urgence et j’arrive à l’autre point !

* Important de garder la place du Christ dans nos vies et construire sur le roc

 Sauver : Sauver l’homme ?

Voilà l’objectif « sauver l’homme », cela nécessite de sauver l’âme de la prise du mal. J’ai pu observer d’un point de vue extérieur et intérieur qu’il y a cette dualité, dualité qui existe depuis le commencement. Oui  le Christ a vaincu le mal mais il n’a pas vaincu notre liberté, liberté de choisir entre le bien et le mal le « oui je fais partie du projet de Dieu» ou le « non je ne fais pas partie du projet de Dieu ».Là où il y a urgence et un travail qui peut être était moins important les années passés c’est que la situation c’est  peut être dégradées et donc on subit les conséquences des erreurs passées , aujourd’hui dans l’état actuel sauver la planète seulement cela ne suffit plus et cela ne suffiras jamais ! Ce qui est important c’est la conversion des cœurs et donc par cette conversion sauver l’âme du mal! J’ai regardé un film l’autre jour, il s’agit d’un film bien Américain ( star trek) , mais ce qui m’a frappé dans ce film, le capitaine faisait tout pour sauver son équipage « sa famille » et donc son bâtiment . Qui aujourd’hui «  les capitaines » (chacun à sa place) politiques, religieux, familiales, du travail … ( je n’accuse personne c’est une réflexion c’est tout ! c’est une remise en question chacun est concerné) qui est  prêt à donner leur vie pour leurs « familles » ? J’ai trouvé une réponse à part le Christ qui c’est donner (pour ceux présents mais pas seulement (disciples…) !!! nous aussi il c’est donner pour nous, même avant notre naissance) ! Personnes d’autres qui a été au-delà de cela et de ce don ultime, mais j’ai trouvé d’autres personnes qui ressemblent à leurs maitres ce sont les Saints oui ils avaient le sens du sacrifice comme le Christ et ils ont tout donné comme « capitaines » pour leurs familles ! Pas pour sauver à tout prix leurs peaux mais pour sauver «  le don de la vie »  « l’amour » sauver « un héritage » et pour sauver « un peuple » comme Jeanne d’Arc !

Voilà cette complexité comment « sauver » l’homme ? En sachant que chacun à sa place c’est le Christ qui sauve (attention dans ce travail complexe de ne pas mélanger les pinceaux et surtout de vouloir à tout prix prendre la place du Christ) ! Voilà une complexité énorme comment « aider, sauver » alors que moi-même (je parle en mon nom) je tombe, je suis fragile, je suis pécheur, je suis imparfaite ? Je ne suis pas un super héros Comment ??

1)      le Christ m’a choisi donc si il m’a choisis c’est que j’ai cette capacité à le faire 2) Il faut se donner pour aider (sauver) et être prêt à se sacrifier pour cela, ex : les saints ont largement contribué à sauver les âmes encore aujourd’hui par leurs exemples de vie ! 3) avoir une exemplarité dans sa propre vie ( alors là cela se corse)  4) priez pour les autres ( j’inclus donc leurs âmes) et je prie pour moi en demandant de l’aide au Christ pour aider les autres. 5)  trouver des moyens de communications  efficaces aujourd’hui internet nous aides bien ( dans ce sens pas dans tout non plus) 6 ) donner des clés , vous donnez des clés pour que vous en sortiez devant toutes les tempêtes de la vie 7) puiser : inlassablement je puise dans le Christ  8 ) le repos :  se reposer pour partir de nouveau / Le Sacrifice est lié à l’Amour car c’est un don .

* A votre échelle vous pouvez chacun contribuer à cela dans votre prière quotidienne en plus de votre propre prière  (pour les âmes dans le purgatoire mais celle aussi sur la terre), mais pas seulement par votre exemplarité dans votre vie (en cherchant sans cesse le bien, malgré les tentations se relever …) , vous aussi vous pouvez témoigner ( je reviendrais sur l’Evangélisation qui est un point important et à quoi cela sert-il ? ) . Marc 8:36 : « 36Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme? »/ « Ce n’est ni par la violence ni par tes propres #forces que tu accompliras ta tâche, mais c’est grâce à mon #Esprit. » Zacharie 4v6

Sacrifices : quels sacrifices ?

Le mot « sacrifice étymologiquement « fait de rendre sacré » ; du latin sacrificium, désigne une offrande , une offrande qui peut être selon chacun plus ou moins important ( petit sacrifices , gros sacrifices (comme le don de sa propre vie), l’autre jour je discutais avec un amis et on parlais du sacrifice , à quel niveau le sacrifice chacun le plaçais ( lui de son coter le sacrifice consisté à se sacrifier pour son job et moi de passer du temps à travailler le weekend ( je parle de la théologie , de la préparation des topos ) ! C’est à vous que je pose la question quel est votre sens du sacrifice ?, à quel point vous pouvez le faire (chacun ses propres limites et compétences) ? Pour tout catho le sacrifice c’est important ! S’émerveiller des sacrifices que d’autres peuvent faire ( il y a des sacrifices qui se voit et d’autre non ),C’est une affaire personnel avec le Christ !

S’émerveiller : Comment s’émerveiller ?

L’été est là. Temps de repos et du dépaysement pour beaucoup, la question qui doit booster les vacances, de faire de cet été (ces vacances) un temps hors du commun. Vivre cet été comme un temps plus proche de Dieu. Décider de faire de chaque jour un chemin neuf ! Accepter de se laisser surprendre, pas forcément avoir un programme ( le programme je vais le retrouver à la rentrée) , partir à l’aventure , on sait que les vacances je prends le temps ( du temps pour être avec le Christ, la famille , les amis…) , prendre du temps aussi pour soi ( s’évader cela est important, souffler). Choisissons de nous émerveillés ( c’est un temps propice à cela) , pour s’émerveiller il nécessite d’ouvrir les yeux à ce qui nous entoure ( la beauté du paysage même si c’est un paysage connu) , comme vous le savez j’aime le Golfe du Morbihan et cela est rare que pendant l’été que je n’y aille pas mais sachez que chaque fois que j’y vais-je suis émerveillé ( la luminosité n’est pas la même , ou j’ai vu quelque chose que je n’avais pas forcement vu avant…) , donc j’ai une pensée pour ceux qui sont en vacances mais qui ne partent pas forcement ( mais cela n’est pas grave , émerveillez-vous quand même) Dieu a fait une magnifique terre et à chaque lieux il y a quelque chose de beau à regarder ! Chaque coin de la terre a son histoire. Pousser la porte de l’Eglise de son village et poser un regard neuf sur elle ! S’émerveiller les yeux ouverts, l’essentiel est invisible…seul un regard attentif révèle le meilleur. Voir dans l’ordinaire du jour , le sourire , le geste , le paysage qui le rendent unique et beau ; savourer l’instant présent , respirer une fleur, écouter la musique…L’essentiel est de s’émerveiller. Car lorsque l’on s’émerveille, lorsqu’on admire nécessairement on se quitte soi-même, on demeure suspendu à la beauté de Dieu, on se réjouit de sa présence. On se perd dans son amour « Dieu c’est quand on s’émerveille ». S’émerveiller, ça se choisit, même quand la vie est dure. S’émerveiller ça se cultive, dans l’amour et la joie. Il n’y a bien entendu pas que l’émerveillement du paysage mais s’émerveiller aussi des personnes autours !

J’ai un exemple très concret et qui m’a profondément bouleverser  (à ce moment je n’avais pas vu et c’est là la faute aussi) Cette été je suis partie à Hautecombe et il y avait une librairie ( je suis une folle des livres et surtout des livres Théo et religieux ;) et j’ai acheté des livres , il y avait un livre de St Padré Pio que j’ai achetée et à Noel je suis partie en vacances. Pendant les vacances j’ai visité des petites Eglises du coin (dans plusieurs Eglise il y avait des statues de St Padré pio , en janvier vous savez j’ai tiré au sort ( un Saint)  et sur qui je suis tombé ? Saint Padré Pio tout ça pour dire qu’il y a des signes (on ne comprend pas tout ) mais ils faut quand même prendre en compte les clins d’œils de Dieu et je peux vous dire qu’il y en a beaucoup à vous de les voir !

 * Pendant l’année j’ai la tête dans le guidon, pendant les vacances c’est une occasion de s’émerveiller ce qu’il y a autour mais aussi voir les clins d’œil de Dieu. S’émerveiller cela se passe avec le créateur et vous-même (l’important c’est de voir, garder dans son cœur et un jour on comprend pourquoi !).S’émerveiller ça s’apprend dans la persévérance.

Persévérance : Comment persévérer dans les difficultés ?

Demeurer constant dans la fidélité à la foi et à la vertu chrétienne, «Celui qui persévère jusqu’à la fin sera sauvé." Nous combattons avec les armes de la charité, de la foi et de l’espérance. Le Christ nous a promis la victoire, mais la victoire vient si nous l’imitons, malgré la résistance de notre esprit et la fatigue d’efforts constants. La jeune sainte Thérèse de Lisieux a eu une vision de diables s’enfuyant loin d’elle par crainte du bien qu’elle faisait par sa fidélité à la vie de la grâce et son abandon à la volonté de Dieu pour le salut des âmes. Le monde n’est pas le même quand nous agissons en tant que vrais chrétiens. La puissance de nos vies unies au Christ dans la prière et l’action gagne beaucoup d’âmes pour le Père et les arrache au pouvoir du mal. Nous devons grandir en espérance : le Seigneur est fidèle à ses promesses. A travers l’histoire, ceux qui restent fidèles à leur mission de coopérer au salut du monde ont été confrontés à des difficultés immenses. Les premiers martyres de Rome nous le montrent.. Notre christianisme ne peut pas être confortable et tiède. Jésus-Christ a vaincu le monde par le don de lui-même à Dieu et aux autres au milieu de circonstances terribles. Pourtant le Christ entre dans la bataille avec paix et confiance car il sait que le sacrifice en vaut la peine. Ses yeux sont fixés sur le Père pendant qu’il se donne pour notre salut. Pendant les vacances c’est un moyen pour faire le bilan de l’année, ai-je été persévérante ? Malgré les difficultés de l’année ai-je été constante dans la difficulté et les épreuves  ?

* Ne jamais laissez tombé et être prêt au prochain match de boxe (combat)

Espérance :

Comme vous savez l’espérance fait partie des vertus théologales. Ce mot je l’ai beaucoup entendue cette année et il y avait un temps où je l’avais oublié… L'espérance est une petite voix qui nous assure que rien n'est jamais perdu. Pour le chrétien, l'espérance est un moteur qui permet de jeter sur chaque événement, sur chaque être un regard renouvelé(ne pas désespérer). Jésus a promis son retour définitif. Nous sommes donc habités par cette certitude qui transcende les moindres petits actes de nos vies. Chaque réalisation humaine porte le signe que Dieu est proche. Vivre dans l'espérance, c'est accepter l'angoisse et, en même temps, vivre dans la joie. Il y a une dynamique de l'espérance. Elle nous mobilise, nous fait avancer sans découragement. L'espérance se nourrit de la foi et la foi se vivifie dans l'espérance. En fait, espérance, foi, confiance et amour de Dieu se conjuguent pour nous permettre d'aller toujours plus loin. Et d'être, sereinement, dans la certitude que tout chemin mène au père .Ok l’année je n’ai pas atteint tous les objectifs que je voulais atteindre, je voulais partir en vacances en ayant fait la fin du topo la Charité mais je suis épuisé physiquement et mentalement ( je suis incapable de le publier avant les vacances) , l’année a été dur comme les années précédentes peut être plus de tentations et d’épreuves. Mais je mets mon espoir dans le Christ je sais que l’année (année scolaire) prochaine je ferais mieux. C’est ça aussi l’espérance c’est l’espoir d’un mieux aux niveaux des actions faites ! Reconnaitre mes fragilités mais partir de nouveau en ayant l’espoir que tout ira mieux. « Apres la pluie le beau temps ». Espérer c’est que même si la nuit c’est installé (ténèbres)  c’est aussi voir qu’un jour la lumière reviendra (Christ), je fais aussi référence au vendredi Saint (mort) et au dimanche de Pâques (résurrection). Espérer cela doit être un choix de tout Chrétiens

 *Ne pas désespérer quoi qu’il arrive (garder espoir devant chaque difficultés et avoir espoir au Christ  car il peut venir en aide)/ A chaque jour suffit sa peine  

Choix : Quel chemin prendre ?

Dans la vie il faut faire des choix et il y a des moments je me trouve à un carrefour, quel chemin prendre ? Quel est le risque ? Comme je le dis souvent il n’y a pas de risque zéro. Faire un choix véritable avant que ce soit les autres qui prennent le choix sans que je  choisis véritablement ( je subis la situation) . Pendant les vacances je souhaite prendre un temps de réflexion seule, « loin du bruit » j’ai insisté longuement avec vous sur ces mots mais cela est important, (je travaille dans une crèche sachez que le soir je rentre et j’ai besoin d’un temps en silence..), en dehors du bruit ! Que mon « oui » soit un « oui » et que mon « non » soit un « non » , qu’est-ce que j’accepte ?, qu’est-ce que je n’accepte pas ? ( il s’agit là de vos propres convictions personnel).

Quand ce chemin engage une autre personne que moi alors il faut être bienveillant envers elle. Mais qu’un choix clair soit posé, « avec » ou « sans », que je ne change pas d’avis comme de chemises, vous blessez l’autre surtout si elle voit votre hésitation, mais surtout la personne peut penser qu’elle est un objet « je t’accepte » « je te rejette ». Il y a tant de jeunes blessés (terriblement)  par ce comportement !

 *Alors soyez des personnes fidèles aux promesses et au choix  décidé, soyez des personnes sur qui on peut compter / je viendrais sur un autre point qui est le discernement.

Discernement : Pourquoi discerner ?

Cela est important le discernement pour tous cathos, le discernement évite en tout point les embuscades du démon mais pas seulement cela évite de tomber à chaque difficultés,  je suis fragile j’ai besoin d’aide. Le discernement est un temps accordé à chacun pour réfléchir et continuer sur le chemin qui est préférable. Il y a vraiment c’est deux actions le temps de réflexions de discernements et le temps où il y a l’action mais vous ne pouvez faire l’action sans le discernement. Le discernement se fait avec le Christ et je vous en supplie accepter l’aide que le Christ vous envoie pour discerner (des prêtres, des amis fidèles). Le discernement est par lequel on découvre l’invitation de Dieu dans sa vie. Il s’agit d’une boussole qui coupe à travers l’épais brouillard. Nous aider à nous orienter aux milieux d’idées parfois flous ( il y a pleins de discernement , le discernement spi , le discernement politique …)

*Dans l’ancien testament, le discernement comporte une part d’obscurité il s’agit de faire un choix dans une voie dont je ne connais pas la trace. Esprit (bon ou mauvais) dans lequel je mets la confiance. Il y a aussi le discernement des esprits (dans chaque actions que j’effectue et dans la voie de mon cœur qui dicte ce que je dois faire je dois reconnaitre la voie bonne et la voie mauvaise c’est aussi cela le discernement des esprits).Dans ce discernement il faut se poser la question quel couleur j’affiche ?

Afficher les couleurs : Quels couleurs prendre ?

Derrière qui je me mets ? Le Christ ? Le mal ? Il faut afficher la bannière, j’ai lu l’autre jour un excellent article sur une homélie du Pape Benoit XVI. Apres avoir fait ce choix il faut prendre la responsabilité et assumer ce choix. Ne pas renier le Christ dès que l’occasion se présente (même si je suis faible), ne pas renier devant les difficultés et devant le jugement des autres. En ouvrant le blog et la page Facebook (j’ai choisis d’afficher la croix avec le cœur bleu (la croix c’est le Christ et le bleu c’est un clin d’œil à la Vierge Marie) comme vous le savez le blog s’appelle Coeur unis de Jésus et de Marie. C’est aussi lorsqu’il ya des actualités brulantes (comme il y a ses dernier jours) c’est aussi afficher ces couleurs en tant que Catholique je suis pour la vie oui ou non ?. Je viens à un autre point l’éthique et la bioéthique.

Éthique /Bioéthique : Quel est le regard de l’Eglise sur ces sujets ?

Ethique: Selon P. Ricœur « c’est le mouvement même de la liberté qui cherche une vie bonne, dans la sollicitude envers autrui et dans un juste usage des institutions sociales » Il n’y a donc pas de réponse toute faîte à un problème donné. Il convient de chercher ensemble la meilleure solution, avec le souci des autres et du coût pour la société. Quel est le juste équilibre ?

Bioéthique : Si les interrogations éthiques concernant la médecine ne sont pas neuves, la bioéthique se distingue de la déontologie médicale classique, en ce que celle-ci constitue davantage un code éthique fondé par les médecins pour les médecins. La bioéthique, au contraire, fait intervenir une pluralité d'acteurs et de disciplines (outre les médecins, biologistes et généticiens, les philosophes, juristes, sociologues, théologiens, etc.)

 Les médecins et chercheurs considére que l’Eglise n’as aucunement sa place sur ces sujets! Ce qui est totalement injuste et faux! Oui l’Eglise plus que jamais à sa place au sein de ses discutions et qu’elle puisse éclairer les chercheurs.Mais depuis quelques année l’ Eglise utilise sa voie pour éclairer les chercheurs mais aussi les Catholiques mais aussi toute les autres personnes « L’Eglise catholique, elle est riche d'une longue réflexion en éthique médicale. Elle s'appuie sur l'expérience multiforme de nombreux catholiques engagés dans le soin et la recherche. Ses positions en la matière sont le fruit d'une réflexion mûrie, confrontées aux réalités humaines et aux résultats scientifiques dont elle tient toujours compte. Son avis a été sollicité par les instances publiques dès les premiers débats dits de « bioéthique » (.lemonde.fr/idees/article/2011/04/08/). La bioéthique, au contraire, fait intervenir une pluralité d'acteurs et de disciplines (outre les médecins, biologistes et généticiens, les philosophes, juristes, sociologues, théologiens, etc.).

 le respect de la dignité humaine, de toute vie humaine dès son commencement : l’embryon est considéré comme un être humain en puissance de devenir une personne humaine. Le code génétique existe dès la première cellule d’où le respect dû à l’embryon. Selon le point de vue de certaines églises le statut de l’embryon serait dépendant du projet parental.
 L’unité de la personne (corps,ame,esprit). Il ne faut pas raisonner uniquement sur le biologique mais sur la globalité corps-psyché-esprit. La qualité profonde d’une vie n’est pas liée à la seule fonctionnalité du vivant. Ex .à l’approche de la mort, on connaît toute l’importance de l’accompagnement dans le cadre des soins palliatifs qui prend en compte la personne dans sa globalité( corps-âme et esprit).Avec la prise en charge de la souffrance physique mais aussi psychique on maintient une qualité de vie jusqu’au bout.
  La cohérence de la filiation et de la généalogie : les lois ne doivent pas introduire de rupture à ce niveau-là, même si tout ne se résume pas à la biologie . En cas de naissance sous anonymat d’un ou des donneurs il y a risque de problèmes psychologiques, la personne concernée souhaitant retrouver ses racines biologiques et sa lignée.
 Le principe de vulnérabilité : l’attention au plus petit (l’embryon, le fœtus, la personne handicapée...) est primordiale. Elle renvoie chacun à sa propre fragilité et elle représente un enjeu essentiel pour l’Église Catholique.
 L’origine de la vie : elle nous échappe, elle est au « creux d’un amour », la vie est de l’ordre du don, elle peut être reçue comme un don de Dieu. Nous lui devons donc un grand respect et devons en prendre soin. ^[]

La liberté de conscience éclairée Selon Vatican II « La conscience est le centre le plus secret de l’homme, le sanctuaire où il est seul avec Dieu et où sa voix se fait entendre »
Par fidélité à la conscience , les chrétiens unis aux autres hommes doivent rechercher ensemble la vérité et les solutions justes aux problèmes moraux que soulèvent tant la vie privée que la vie sociale.
Quand on par le de jugement éthique il y a 3 dimensions :
 la dimension singulière :la personne dans son histoire, le couple demandeur, c’est l’aspect individualiste,
 la dimension particulière :celle de la loi ; c’est l’aspect légaliste,
 la dimension universelle :la recherche du bien commun à partir des grands principes de la déclaration universelle des droits de l’Homme ; ex. tu ne tueras pas, c’est l’aspect idéaliste.
Il peut y avoir contradiction entre telle ou telle dimension, d’où la nécessité de prendre en compte les trois à la fois.

J’ai très rapidement passée ce sujet il y a beaucoup à dire c’est peut être un futur travail pour un topo !

* L’Eglise a besoin que des jeunes se lèvent mais aussi se forme pour pouvoir répondre aux nouveaux défis qui se présentent devant nous. Pour pouvoir un jour en parler en public si besoin !

Vie Privée/ Vie Publique :

A la suite du Christ les disciples et les saints ont vécut comme leur maitre une vie privée et une vie publique. La vie privée était une vie bien caché loin des  « projecteurs » . Pour préparer la vie publique, le Christ vivait avec sa famille en grandissant et après en travaillant avec son père. Il grandissait en sagesse. Les Saints aussi était entouré par la famille et n’était pas encore vu par le monde extérieur. La vie Publique pour le Christ et pour ces disciples et compagnons de routes comme les Saints était une vie avec un magistère (mission spécifique).Pendant leur vie publique le Christ et le Saint faisait des miracles pour que les personnes crurent au Christ.

J’aimerais vous faire partager les livres ou articles que j’ai lus et qui m’ont particulièrement touché (quelques-uns) et je prendrais que quelques lignes qui étaient importantes :

Mgr Claude Dagens : Catholique et présents dans la société Françaises « Foi en Dieu et démocratie » : est Evêque d’Angoulême. Elu à l’Académie française en 2008. « Certains continuent à considérer le catholicisme comme un bloc plus ou moins monolithique et les membres de l’Eglise comme des éléments ce blocs. La qualification même de Catholique retentit alors comme la dénonciation d’un danger, comme si une alliance perverse entre la religion et la politique continuait de menacer notre société. »

 (http://mgrclaudedagens.over-blog.com/)

François-Xavier Bellamy : « les Déshérités ou l’urgence de transmettre », ce livre est très intéressant et l’auteur est très brillant : je vous invite à le lire c’est un essai qui traite de la transmission (médiation). Ce livre a retenu mon attention par rapport à mon métier, la transmission est un point important à l’éducation (dans mon travail la transmission est utilisé chaque jour exemple concret : comment apprendre à un enfant à tenir sa fourchette, son crayon de couleurs si je ne dis rien, l’enfant ne tiendra jamais sa fourchette correctement , pareil pour le langage, je suis là pour leurs apprendre les mots. L’Auxiliaire de Puériculture répond aux besoins fondamentaux de l’enfant et contribue à son développement, son éducation, sa socialisation. Chaque soir je suis tenu à faire les transmissions aux parents pour raconter la journée de leurs enfants !) Page 184 «… Elle appelle au contraire à transmettre ce que l’on a reçu de meilleur, pour faire grandir une authentique liberté… » et une autre phrase qui m’a aussi interpellée :   

« Il est urgent de changer le monde [...] le plus simple, le plus nécessaire et le plus difficile consiste à se changer soi-même »

 (http://www.fxbellamy.fr/blog/)

Pape Benoit XVI : « la charité dans la vérité » (Lettre encyclique 2009) en sachant que ce livre je l’ai lue au moins 4 fois, Benedictus Decimus Sextus ,265^e souverain Pontife, Pape de l’Eglise Catholique du : 19 avril 2005 au 28 février 2013. C’est un Pape dont j’ai un très grand estime et pour ma part c’est le plus grand Théologien de notre époque : «Dieu est amour (Deus caritas est) : tout provient de l’amour de Dieu, par lui tout prend forme et tout tend vers lui. » (Source : http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr.html )  

« Homélie de Benoît XVI lors de son installation comme successeur de Pierre le 24 avril 2005 » : « La sainte inquiétude du Christ doit animer tout pasteur: il n’est pas indifférent pour lui que tant de personnes vivent dans le désert. Et il y a de nombreuses formes de désert. Il y a le désert de la pauvreté, le désert de la faim et de la soif; il y a le désert de l’abandon, de la solitude, de l’amour détruit. Il y a le désert de l’obscurité de Dieu, du vide des âmes sans aucune conscience de leur dignité ni du chemin de l’homme. Les déserts extérieurs se multiplient dans notre monde, parce que les déserts intérieurs sont devenus très grands. C’est pourquoi, les trésors de la terre ne sont plus au service de l’édification du jardin de Dieu, dans lequel tous peuvent vivre, mais sont asservis par les puissances de l’exploitation et de la destruction. L’Église dans son ensemble, et les Pasteurs en son sein, doivent, comme le Christ, se mettre en route, pour conduire les hommes hors du désert, vers le lieu de la vie, vers l’amitié avec le Fils de Dieu, vers Celui qui nous donne la vie, la vie en plénitude. »

« LETTRE ENCYCLIQUE SPE SALVI » « SPE SALVI facti sumus » – « dans l'espérance nous avons été sauvés, dit saint Paul aux Romains et à nous aussi (Rm 8, 24). Selon la foi chrétienne, la « rédemption », le salut n'est pas un simple donné de fait. La rédemption nous est offerte en ce sens que nous a été donnée l'espérance, une espérance fiable, en vertu de laquelle nous pouvons affronter notre présent: le présent, même un présent pénible, peut être vécu et accepté s'il conduit vers un terme et si nous pouvons être sûrs de ce terme, si ce terme est si grand qu'il peut justifier les efforts du chemin. Maintenant, une question s'impose immédiatement: mais de quel genre d'espérance s'agit-il pour pouvoir justifier l'affirmation selon laquelle, à partir d'elle, et simplement parce qu'elle existe, nous sommes rachetés? Et de quel genre de certitude est-il question?... »

« Les sarcophages des débuts du christianisme illustraient de manière visible cette conception devant la mort, face à laquelle la question concernant la signification de la vie devient inévitable. La figure du Christ est interprétée sur les sarcophages antiques surtout au moyen de deux images: celle du philosophe et celle du pasteur. Par philosophie, à l'époque, on n'entendait pas, en général, une discipline académique difficile telle qu'elle se présente aujourd'hui. Le philosophe était plutôt celui qui savait enseigner l'art essentiel: l'art d'être homme de manière droite – l'art de vivre et de mourir. »…, « Vers la fin du troisième siècle, nous trouvons pour la première fois à Rome, sur le sarcophage d'un enfant, dans le contexte de la résurrection de Lazare, le Christ comme figure du vrai philosophe qui, dans une main, tient l'Évangile et, dans l'autre, le bâton de voyage du philosophe. Avec son bâton, il est vainqueur de la mort; l'Évangile apporte la vérité que les philosophes itinérants avaient cherchée en vain. Dans cette image, qui est restée dans l'art des sarcophages durant une longue période, il est évident que les personnes cultivées comme les personnes simples reconnaissaient le Christ: il nous dit qui, en réalité, est l'homme et ce qu'il doit faire pour être vraiment homme. Il nous indique la voie et cette voie est la vérité. Il est lui-même à la fois l'une et l'autre, et donc il est aussi la vie dont nous sommes tous à la recherche. Il indique aussi la voie au-delà de la mort; seul celui qui est en mesure de faire ainsi est un vrai maître de vie. La même chose est visible dans l'image du pasteur. Comme dans la représentation du philosophe, …» (Source :http://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/encyclicals/documents/hf_ben-xvi_enc_20071130_spe-salvi.html)

Pape François : (Franciscus) 266^e Souverain Pontife, Pape de l’Eglise Catholique: 13 mars 2013 jusqu’à aujourd’hui : « LETTRE ENCYCLIQUE
LUMEN FIDEI » : « Le salut par la foi »   « 19. À partir de cette participation à la façon de voir de Jésus, l’apôtre Paul nous a laissé dans ses écrits une description de l’existence croyante. Celui qui croit, en acceptant le don de la foi, est transformé en une créature nouvelle. Il reçoit un nouvel être, un être filial ; il devient fils dans le Fils. « Abba, Père » est la parole la plus caractéristique de l’expérience de Jésus, qui devient centre de l’expérience chrétienne (cf. Rm 8, 15). La vie dans la foi, en tant qu’existence filiale, est une reconnaissance du don originaire et radical qui est à la base de l’existence de l’homme, et peut se résumer dans la phrase de saint Paul aux Corinthiens : « Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? » (1 Co 4, 7). » (S : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20130629_enciclica-lumen-fidei.html)

Conclusion

L’année n’as pas été trop mauvaise, mais je suis fatigué physiquement et mentalement, j’aimerais que vous sachiez que le travail que j’effectue est difficile, le Christ me pousse toujours plus loin pour que je puisse me remettre sans cesse en question. Il y a quelques années je n’aurais pas été capable d’écrire sur des sujets religieux. Je n’ai probablement pas atteint ce que le Christ à décider de me montrer (je n’ai pas atteint le but). Effectivement la théologie est une mine d’or qui est inépuisable car on n’atteint jamais la parfaite connaissance sur Dieu même si on s’approche chaque jours davantage. La Théologie Catholique : La théologie (en grec ancien θεολογία) est le discours rationnel sur la divinité (source wiki). / La croissance dans l’intelligence de la foi : Grace à l’assistance du Saint Esprit, l’intelligence des réalités comme des paroles de l’héritage de la foi peut croitre dans la vie de l’Eglise. »… « La recherche théologique qui approfondit la connaissance de la vérité révélée » (Source Cathéchisme de l’Eglise Catholique). La théologie  est une révélation grâce à l’esprit Saint. Sans l’Esprit Saint la vérité n’éclate pas, l’esprit Saint éclaire les parties voilées. Pour ma part pour être un bon théologien (même si je n’ai pas atteint cela) il faut pratiquer la théologie et la philosophie puisque les deux tendent vers la vérité. La théologie et la philosophie (attention de ne pas tomber dans l’apophatisme : est une approche philosophique fondée sur la négation. En dérive la théologie négative, c'est-à-dire une approche de la théologie qui consiste à insister plus sur ce que Dieu n’est pas que sur ce que Dieu est.   « Je suis celui qui est ». Ceux-ci développent, en effet, une théologie positive.

La théologie négative peut être développée de deux façons :

par négation (démarche apophatique, du grec apophasis : négation) ;

ou par abstraction (méthode aphairétique, du grec, aphairesis : abstraction). Exemple : le théologien Jean Scot Erigène (IXe s. EC) : « Nous ne savons pas ce qu'est Dieu. Dieu lui-même ignore ce qu'il est parce qu'il n'est pas quelque chose. Littéralement Dieu n'est pas, parce qu'il transcende l'être. »)

Recherche la vérité, le théologien qui pratique la philosophie (en plus de la théologie) grâce à la  foi et grâce à l’esprit Saint peut tendre vers la vérité et vers le dévoilement de la partie caché. Un auteur que j’aime particulièrement Saint Augustin qui a su conjuguer les deux (la philosophie et la théologie). Benoit XVI atteint aussi ce niveau grâce aux deux.  Un autre point que je voudrais parler c’est sur la théologie de la libération. La théologie de la libération est apparu en 1968 et elle s’est particulièrement manifesté en Amérique Latine. Prenant sa source dans une expérience de contemplation, de compassion, d'indignation et d'engagement aux côtés des plus pauvres, la théologie de la libération offre une réponse spécifique à toutes les communautés opprimées : «La théologie de la libération dit aux pauvres que la situation qu'ils vivent actuellement n'est pas voulue par Dieu», dira Gustavo Gutiérrez.. On a beaucoup évoqué en parlant de la théologie de la libération  de «perversion de la chrétienté» et de «théologie des rues». Elle a été également accusée de dérive idéologique, d'une forte connotation marxiste dans le discours, et du recours à la lutte des classes comme grille de lecture des conflits sociopolitiques. Le fait que beaucoup de membres du clergé se soient impliqué dans les luttes politiques. La Congrégation pour la doctrine de la foi s'est prononcée à deux reprises. La première instruction, le 6 août 1984, met en garde contre les déviations dues à l'introduction d'éléments du marxisme et critique les lectures rationalisantes de la Bible qui réduisent l'histoire du Christ à celle d'un libérateur social et politique. Attention aux mots si vous faites de la politique en rien vous faites de la théologie de la libération. Que des jeunes s’inscrivent sur des listes électorales est en rien un mal ( je dirais même plus c’est bien ) , l’engagement c’est important. La participation de prêtres sandinistes au mouvement marxiste du Nicaragua, condamnée énergiquement par Jean-Paul II a aussi porté du tort à cette théologie. Apres que l’Eglise s’intéresse au pauvres et propose des solutions n’est en rien une théologie de la libération attention quand même de ne jamais (dans un sens général) tomber la dedans. Ce qui est fort marquant c’est l’année « 1968 » en France : Mai 68 est un ensemble de mouvements, grèves et manifestations survenus en France, en mai-juin 1968. Ces événements constituent une période et l'une des ruptures marquantes de l'histoire contemporaine française, caractérisés par une vaste révolte spontanée antiautoritaire, de nature à la fois culturelle, sociale et politique, dirigée contre la société traditionnelle, le capitalisme, l'impérialisme et, plus immédiatement, contre le pouvoir gaulliste en place. En sachant quand même que en 1968 il y a  eu des mouvements sociaux partout dans le monde.  

Prière :

Merci pour tout

Merci, Seigneur, merci,
Merci pour tous les cadeaux que tu m'as offerts.
Merci pour tout ce que j'ai vu, entendu, reçu.
Merci pour l'eau qui m'a réveillé,
Merci pour les habits qui me protègent.
Merci pour la nuit paisible
Merci pour les étoiles
Merci pour le silence
Merci pour le temps que Tu m'as donné
Merci pour la vie
Merci pour la grâce.
Merci pour mon travail, mes efforts.
Merci pour la nourriture qui m'a soutenu,
pour l'eau qui m'a désaltéré.
Merci pour les bonjours qu'on m'a souhaité
Pour les poignées de main que j'ai données
Pour les sourires qu'on m'a offerts.
Merci pour le toit qui m'abrite, pour la lumière qui m'éclaire.
Merci pour les bouquets de fleurs,
Merci d'être là Seigneur,
Merci Seigneur
Amen !

Prière à la Sainte Famille
O Sainte Famille de Nazareth, communauté d'amour de Jésus, Marie et Joseph, modèle et idéal de toute famille chrétienne, nous te confions nos familles. Ouvre le cœur de chaque foyer domestique à la foi, à l'accueil de la parole de Dieu, au témoignage chrétien, pour qu'il devienne une source de nouvelles et saintes vocations. Dispose l'esprit des parents, afin que, avec une prompte charité, un soin plein de sagesse et une tendre piété, ils soient pour leurs enfants des guides sûrs vers les biens spirituels et éternels. Suscite dans l'esprit des jeunes une conscience droite et une volonté libre pour que, grandissant "en sagesse, en âge et en grâce", ils accueillent généreusement le don de la vocation divine. Sainte Famille de Nazareth, fais que nous tous, en contemplant et en imitant la prière assidue, l'obéissance généreuse, la pauvreté digne et la pureté virginale vécues en ton sein, nous nous disposions à accomplir la volonté de Dieu et à accompagner avec une prévoyante délicatesse tous ceux qui, parmi nous, sont appelés à suivre de plus près le Seigneur Jésus, qui "s'est livré lui-même pour nous".
Jean-Paul II Rome, 26 décembre 1993

Voici la fin de l’Année scolaire, les portes des vacances s’ouvrent devant nous, je vous souhaite à tous sans exception de bonnes vacances et un bon repos, pour ceux qui travail je leur souhaite bon courage ! Pour ma part je suis en vacances jeudi soir et je pars dans ma chère Bretagne ! Que ces vacances soit en lien continuel avec le Christ, sachez repérer les signes que le Christ nous envoie, le repos est de mise pour pouvoir affronter les nouveaux défis en septembre et répondre toujours «  oui au Christ ». Pendant les vacances rester donc fixer sur le Christ mais aussi priez pour les uns et les autres, j’ai une demande express à vous  demander priez pour l’Eglise dans son entièreté ! Je pense à vous et prie pour vous faite de même pour moi ! Restez unis dans le Christ.

Unis au Christ.  Sophie DP